Heures de travail : S’adapter à une nouvelle réalité de la Covid-19

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  • Objet

    Objet

    Le présent Guide de procédures a pour objectif de décrire les horaires de travail potentiels, leurs conditions et considérations, en plus de fournir les étapes à suivre pour soutenir leur mise en œuvre.

  • Contexte

    Contexte

    La pandémie de COVID-19 actuelle est sans précédent. Dans ce contexte, le Ministère a fait preuve de souplesse en élargissant l’utilisation du congé payé pour autres motifs (699) comme mesure d’adaptation temporaire. Tandis qu’il est peu probable qu’il y ait retour dans un environnement semblable à celui en vigueur avant la COVID dans un avenir rapproché, en fonction des activités et de l’approbation de la direction, différents horaires de travail sont offerts afin d’optimiser les heures de travail des employés, comme les suivants :

    • Modification des heures de travail, pendant la journée normale de travail, afin de minimiser le recours au congé payé pour autres motifs (699);
    • Travailler des heures de travail qui ne sont pas consécutives;
    • Travailler une semaine de travail comprimée;
    • Travailler des heures qui diffèrent de la journée normale de travail, comme le définit la convention collective.

    Dans tous les cas, il faut accorder une attention à l’équité, aux coûts, aux répercussions dans le cadre de Phénix, à la capacité d’assurer une supervision, au service à la clientèle, ainsi qu’aux exigences opérationnelles.

    Les options énumérées ci-dessous doivent être appliquées sur une base individuelle. La plupart des options proposent un degré de souplesse au gestionnaire et à l’employé. Lorsque les changements à un horaire hebdomadaire ne sont pas sporadiques, mais visent plutôt une période stable plus longue (au moins deux mois et plus), la direction devrait indiquer les changements à l’horaire de travail de l’employé dans MaSGE (PeopleSoft).

    Remarque : Ce document ne porte pas sur le travail par poste.

  • Horaire régulier

    Horaire régulier

    Voici un exemple d’horaire régulier (employé à temps plein).

    Comme l’indiquent la convention collective ou les conditions d’emploi, l’horaire régulier comprend 37,5 heures par semaine dans le cas d’un employé à temps plein. Notez ce qui suit :

    • La semaine normale de travail commence le lundi et prend fin le dimanche;
    • La journée normale de travail est de 7,5 heures, et se déroule habituellement entre 7 h et 18 h.

    Voici un exemple d’horaire régulier (employé à temps plein).

    • Lorsque la journée normale de travail est de 7,5 heures par jour; et
    • Lorsque la semaine normale de travail est de 37,5 heures par semaine (75 heures pour une période de deux semaines).
    Exemple d’horaire régulier (employé à temps plein)

    -

    LunMarMerJeuVenSamDimTotal
    Semaine 1 7,5 7,5 7,5 7,5 7,5 0,00 0,00 37,50
    Semaine 2 7,5 7,5 7,5 7,5 7,5 0,00 0,00 37,50
    Total des heures travaillées durant la période de deux semaines : 75,00
  • Heures flexibles

    Heures flexibles

    En fonction des exigences opérationnelles, un employé peut demander qu’un horaire flexible soit établi. Il s’agit de modalités de travail qui permettent à l’employé d’établir la période pendant laquelle il réalisera sa journée normale de travail, s’il obtient l’approbation de son gestionnaire et respecte sa convention collective. On s’attend à ce que l’employé puisse faire sa journée normale de travail, peu importe l’heure à laquelle il commence à travailler.

    Conditions

    • Ces modalités ne sont offertes qu’aux employés qui travaillent pendant une journée normale de travail;
    • L’employé doit discuter d’avance de l’horaire avec son gestionnaire qui doit l’approuver;
    • Il faut respecter les besoins opérationnelles;
    • Les pauses et l’heure du dîner doivent être prévues conformément à la convention collective applicable.

    Considérations

    • L’horaire flexible est une option qui propose un certain degré de souplesse pour satisfaire les besoins de l’employé, tout en veillant au respect des exigences opérationnelles;
    • Ce type d’horaire permet à l’employé de travailler au moment où il est le plus productif. Par exemple, si l’employé est une personne matinale, il peut préférer commencer tôt;
    • Cela peut faciliter le transport pour se rendre au lieu de travail désigné;
    • L’horaire ne doit pas faire en sorte d’augmenter la charge de travail des autres membres de l’équipe;
    • L’horaire ne devrait pas permettre le versement de paiements supplémentaires (comme des heures supplémentaires ou des primes).

    Exemple de scénario

    Exemple d’heures de travail flexibles (Employé à temps plein)

    Un employé à temps plein doit partager avec sa conjointe les journées où il doit laisser son enfant à la garderie. Il demande donc de commencer à travailler à différentes heures au cours de la semaine de travail. La direction pourrait accepter l’horaire flexible illustré ci-dessous.

    Exemple de scénario

    -

    LunMarMerJeuVenSamDimTotal
    Semaine 1 9h - 17h 8h30 - 16h30 8h - 16h 9h - 17h 9h - 17h 0,00 0,00 37,50
    Semaine 2 9h - 17h 8h - 16h 8h - 16h 9h - 17h 9h - 17h 0,00 0,00 37,50
    Total des heures travaillées durant la période de deux semaines : 75,00

    Remarque : La convention collective explique l’option permettant de modifier l’heure de début et l’heure de fin pendant les heures normales de travail (se trouvant sous « Durée du travail »). Par exemple, dans la convention collective des PA, la journée normale de travail commence à 7 h et prend fin à 18 h (l’heure de début doit être entre 7 h et 10 h, et l’heure de fin, entre 15 h et 18 h).

    Comment assurer la mise en œuvre

    Aucun changement ne doit être apporté à l’horaire dans MaSGE (PeopleSoft) si l’employé travaille 7,5 heures tous les jours au cours de la semaine normale de travail.

  • Heures de travail variables

    Heures de travail variables

    Également connu sous le nom de « semaine de travail comprimée » ou « arrangement du temps de travail (ATT) »

    Ces modalités de travail permettent aux employés de faire leurs heures de travail hebdomadaires au cours d’une période autre que la période habituelle de cinq (5) jours. La moyenne des heures est établie pour une période précise. Par exemple, un employé peut travailler 75 heures sur une période de neuf (9) jours, au lieu des dix (10) jours habituels.

    Conditions

    • L’employé doit discuter d’avance de l’horaire avec son gestionnaire qui doit l’approuver;
    • Il faut respecter les besoins opérationnels;
    • La convention collective applicable précise les modalités qui régissent l’administration de l’horaire variable et comprend ce qui suit :
      • La mise en œuvre ne doit pas entraîner des heures supplémentaires additionnelles ni une rémunération supplémentaire;
      • Les heures de travail d’une journée quelconque peuvent être supérieures ou inférieures à 7,5 heures;
      • Les heures du début et de la fin, les pauses-repas et les périodes de repos sont fixées en fonction des exigences opérationnelles, et les heures journalières de travail sont consécutives;
      • L’horaire doit prévoir une moyenne de 37,5 heures de travail par semaine pendant toute la durée de l’horaire;
      • Les crédits de congé acquis ou l’octroi des autres congés sont à raison de 7,5 heures par jour;
      • Un jour férié désigné payé correspond à 7,5 heures;
      • Les employés doivent rattraper le temps perdu lors de jours fériés. Par exemple, un employé dont la semaine de travail compte 37,5 heures et qui dispose d’une journée de repos toutes les deux semaines utiliserait 50 minutes d’un congé annuel ou compensatoire ou travaillerait 50 minutes additionnelles pour rattraper le temps;
      • Chaque jour de congé utilisé doit être égal au nombre d’heures de travail prévues. Par exemple, si un employé travaille 8 heures 20 minutes (8,333 heures) par jour et prend un congé, il faut déduire 8,333 heures des crédits de congé de cet employé. La même situation prévaut dans le cas des crédits de congés de maladie.

    Considérations

    • Les heures de travail variables sont une option qui propose un certain degré de souplesse pour satisfaire les besoins de l’employé, tout en veillant au respect des exigences opérationnelles;
    • Un employé qui fait des heures de travail variables continue d’avoir droit aux mêmes crédits de congé qu’avant;
    • Ces modalités sont acceptées sur une base volontaire par l’employé;
    • Au cours d’une période plus longue, le fait de réaliser des heures plus longues peut être exigeant, autant sur le plan physique que sur le plan mental, pour certaines personnes.

    Remarque : Si un employé demande un congé payé pour autres motifs (699) pour une journée qui ne correspond pas à la journée cumulée de repos (comprimée), les gestionnaires devraient évaluer la possibilité de déplacer cette journée de repos lors d’une journée pendant laquelle l’employé bénéficierait d’un autre congé payé pour d’autres motifs. Dans le cas de situations complexes, on incite les gestionnaires à communiquer avec les Relations de travail pour obtenir des conseils et une orientation.

    Exemple d’heures de travail variables dans le cas d’un employé à temps plein qui dispose d’un horaire comprimé de deux semaines lors duquel il a congé le deuxième vendredi

    • Votre journée normale de travail est de 7,5 heures par jour; et
    • Votre semaine normale de travail est de 37,5 heures (75 heures pour une période de deux semaines) :
    Heures de travail variables

    -

    LunMarMerJeuVenSamDimTotal
    Semaine 1 8,5 8,5 8,5 8,5 7,0 0,00 0,00 41,00
    Semaine 2 8,5 8,5 8,5 8,5 0,00 0,00 0,00 34,00
    Total des heures travaillées durant la période de deux semaines : 75,00

    Comment assurer la mise en œuvre

    Pour mettre en œuvre des heures de travail variables, l’employé doit tout d’abord remplir le formulaire Horaire de travail (HRB5026) (PDF, 96 Ko) et le remettre à son gestionnaire à des fins d’approbation. Les heures totales de travail indiquées sur le formulaire doivent correspondre à une moyenne de 37,5 heures par semaine, dans le cadre d’un horaire de travail de 14, de 21 ou de 28 jours civils (conformément à la convention collective applicable). Vous trouverez de plus amples renseignements en consultant le lien suivant : Comment faire une demande.

    Lorsque le tout est approuvé et avant le début du nouvel horaire, le gestionnaire doit saisir l’horaire dans MaSGE (PeopleSoft). Pour le faire, il faut consulter le Guide de soutien de MaSGE (PeopleSoft) : Congé libre-service gestionnaire – Gestion horaires employé.

  • Autre option pendant les heures normales de travail (de 7 h à 18 h)

    Autre option pendant les heures normales de travail (de 7 h à 18 h)

    Pour tenir compte des besoins des employés, la direction peut évaluer un horaire de travail dont les heures ne sont pas consécutives.

    Conditions

    • Ces modalités ne sont offertes qu’aux employés qui travaillent pendant une journée normale de travail;
    • L’employé doit discuter d’avance de l’horaire avec son gestionnaire qui doit l’approuver;
    • Il faut respecter les exigences opérationnelles;
    • Les pauses et la pause-repas doivent être prévues conformément à la convention collective applicable.

    Considérations

    • Cette option propose un certain degré de souplesse pour satisfaire les besoins de l’employé, tout en veillant au respect des exigences opérationnelles;
    • Les modalités de travail doivent être examinées régulièrement, en fonction de la situation individuelle de l’employé et des exigences opérationnelles;
    • L’horaire ne doit pas faire en sorte d’augmenter la charge de travail des autres membres de l’équipe;
    • L’horaire ne devrait pas permettre le versement de paiements supplémentaires (comme des heures supplémentaires ou des primes);
    • Les conditions de la convention collective continuent de s’appliquer, y compris les périodes de repos et la pause-repas. Par exemple, dans le cadre du scénario fourni ci-dessous, deux (2) périodes de repos de 15 minutes chacune doivent être prévues (une le matin et une l’après-midi). En outre, la pause-repas devrait être prise entre 10 h 30 et 13 h.

    Exemple de scénario

    L’employé doit prendre soin de son enfant pendant quelques heures autour de l’heure du repas chaque jour. L’employé ne peut pas travailler 7,5 heures consécutives, mais peut tout de même travailler 7,5 heures pendant les heures normales de travail.

    Exemple de scénario

    -

    LunMarMerJeuVenSamDimTotal
    Horaire hebdomadaire

    7h30 - 10h30

    13h00 - 17h30

    = 7,5

    7h30 - 10h30

    13h00 - 17h30

    = 7,5

    7h30 - 10h30

    13h00 - 17h30

    = 7,5

    7h30 - 10h30

    13h00 - 17h30

    = 7,5

    7h30 - 10h30

    13h00 - 17h30

    = 7,5

    0,00 0,00 37,50

    Comment assurer la mise en œuvre

    Si l’horaire de travail établi préalablement est de 7,5 heures par jour, aucun changement ne doit être apporté dans MaSGE (PeopleSoft), puisque le travail de 7,5 heures est réalisé tous les jours pendant les heures de travail obligatoires.

    En raison de la nature de cet horaire de travail, on recommande fortement au gestionnaire et à l’employé de mettre, par écrit, les détails de l’horaire de travail convenu.

  • Heures tardives (hors des heures normales de travail) – Convention collective des PA seulement

    Heures tardives (hors des heures normales de travail) – Convention collective des PA seulement

    La disposition 25.11 de la convention collective des PA prévoit des heures tardives, allant de 6 h à 7 h et de 18 h à 21 h, du lundi au vendredi. Des consultations auprès des Relations de travail sont nécessaires avant la mise en application des heures tardives.

    Lorsqu’un horaire comprenant des heures tardives est mis en place, même si l’employé en fait la demande volontairement, l’employé a droit à la prime d’heures tardives de 7 $ (entre 6 h et 7 h et entre 18 h et 21 h) pour chaque heure travaillée.

    Remarque Importante : Selon la décision que le Ministère a prise, la mise en œuvre des horaires comprenant des heures tardives (avant 7 h ou après 18 h) sera faite sur une base volontaire de la part des employés, dans le contexte du congé payé pour d’autres motifs (699) et de la COVID-19. Lors de situations autres que le congé 699 et la COVID-19, la direction peut mettre en place un horaire comptant des heures tardives. Cependant, cet horaire doit être mis en place pour satisfaire les besoins du public ou assurer l’efficacité des opérations de service. Il faut donc consulter les Relations de travail.

    Conditions d’ordre général

    • Consultation du syndicat requise.
    • Les heures de travail ne peuvent pas commencer avant 6 h ou aller au-delà de 21 h. En outre, la semaine de travail allant du lundi au vendredi et la journée de travail de 7,5 heures consécutives ne peuvent pas être modifiées.
    • Les employés doivent obtenir un préavis d’au moins sept (7) jours concernant l’entrée en vigueur d’un tel changement. En cas de non-respect, le premier (1er) jour travaillé après l’entrée en vigueur de ce changement sera payé au taux et demi (1 1/2) pour les 7,5 premières heures, et au taux double (2) par après. Les jours subséquents travaillés en fonction des heures modifiées doivent être rémunérés à un taux des heures normales, conformément à l’article 28 (heures supplémentaires).
    • Lorsque les heures de travail d’un employé sont faites entre 6 h et 7 h (pas plus tôt) ou entre 18 h et 21 h (pas plus tard), l’employé doit recevoir une prime d’heures tardives de sept dollars (7 $) pour chaque heure travaillée avant 7 h et après 18 h, conformément à l’article 25.12(b). Cependant, l’horaire doit tout de même respecter les critères suivants du travail de jour :
      • La semaine de travail normale doit être de 37,5 heures;
      • Elle s’étend du lundi au vendredi inclusivement;
      • La journée normale de travail doit être de 7,5 heures consécutives, sauf la pause-repas.
    • La prime d’heures tardives ne s’applique pas aux heures supplémentaires, et la prime doit être payée uniquement pour toutes les heures complètes travaillées.
    • Les employés qui travaillent par poste n’ont pas droit à la prime d’heures tardives.
    • Les employés à temps partiel (qui travaillent moins de 37,5 heures par semaine) n’ont pas droit à la prime d’heures tardives, puisqu’ils ne travaillent pas à temps plein (37,5 heures). Il s’agit d’une prime versée uniquement aux travailleurs qui travaillent à temps plein le jour, conformément à l’article 25.11(d).

    Conditions pour le congé 699 et la COVID-19

    • Les mêmes conditions notées ci-haut s'appliquent, à l'exception de ce qui suit :
      • L’employé a demandé, volontairement, que des changements soient apportés aux heures hors des heures normales de travail, afin de tenir compte de sa situation personnelle dans le cadre de la COVID-19 ou de minimiser son recours au congé payé pour d’autres motifs (699). Ces heures continuent d’être possibles, sur le plan opérationnel, en plus de respecter les exigences opérationnelles.
      • Il n’est pas nécessaire de consulter le syndicat, puisque la direction compose avec les situations individuelles en ce qui concerne les mesures d’adaptation.
      • Le préavis de sept (7) jours concernant le moment où ce changement entre en vigueur ne s’applique pas.

    Considérations

    • Prévoit des heures de service prolongées (heure de début tôt et heure de fin tardive);
    • Cette option propose un certain degré de souplesse pour satisfaire les besoins de l’employé, tout en veillant au respect des exigences opérationnelles;
    • Elle peut satisfaire les besoins en transport, ainsi que d’autres besoins et engagements personnels.

    Voici des exemples d’horaires de travail de jour dans le cadre desquels les primes d’heures tardives s’appliquent :

    Exemple de scénario A

    Une employée doit prendre soin de ses jeunes enfants parce que la garderie est fermée (COVID-19). Elle a pris d’autres dispositions, mais n’a pu trouver une gardienne que pour le début de la matinée. Elle demande volontairement de travailler tôt le matin. Sur le plan opérationnel, c’est possible.

    Exemple de scénario A

    -

    LunMarMerJeuVenSamDimTotal
    Semaine de travail

    6h - 14h

    6h - 14h

    6h - 14h

    6h - 14h

    6h - 14h

    0 0 37,5

    L’employée qui travaille du lundi au vendredi, de 6 h à 14 h, a droit à la prime d’heures tardives pour l’heure travaillée avant 7 h.

    L’employée a droit à une prime d’heures tardives d’une (1) heure par jour (de 6 h à 7 h), soit un total de 5 heures du lundi au vendredi.

    Exemple de scénario B

    Une employée doit prendre soin de sa mère malade (COVID-19). Elle a pris d’autres dispositions, mais n’a pu trouver une aide que pour l’après-midi. Elle peut donc commencer à travailler uniquement à 13 h. Elle demande volontairement de travailler le soir. Sur le plan opérationnel, c’est possible.

    Exemple de scénario B

    -

    LunMarMerJeuVenSamDimTotal
    Semaine de travail

    13h - 21h

    13h - 21h

    13h - 21h

    13h - 21h

    13h - 21h

    0,0 0,0 37,5

    L’employée qui travaille du lundi au vendredi, de 13 h à 21 h, a droit à la prime d’heures tardives pour chaque heure travaillée après 18 h.

    L’employée a droit à une prime d’heures tardives de 3 heures par jour (de 18 h à 21 h), soit un total de 15 heures du lundi au vendredi.

    Paiement de la prime d’heures tardives

    Pour qu’un employé puisse demander le paiement de la prime d’heures tardives, vous devez soumettre une demande sans attendre dans le libre-service de Phénix. Veuillez consulter la page Primes de poste et prime d’heures tardives pour obtenir de plus amples renseignements. Toutes demandes soumises après plus de six mois où les heures de travail ont été effectuées seront refusées par Phénix; ces demandes ne pourront être présentées qu’au moyen du formulaire Rapport sur la paye pour services supplémentaires/travail par équipe et autorisation – GC-179.