Vidéo promotionnelle du REH d'EDSC

Transcription

YAZMINE LAROCHE : Quand on commence à bâtir des équipes avec une diversité de perspectives, c'est là où on commence à être capable de vraiment innover, de trouver d'excellentes solutions.

CARLA QUALTROUGH : Faire des consultations auprès des Canadiens pendant que nous élaborons cette loi est essentiel. Toutefois, il est également très important de nous assurer que nos bâtiments fédéraux soient accessibles et que les fonctionnaires handicapés aient droit à des mesures d'adaptation.

JENNIFER LEENHOUTS : EDSC veut avoir un modèle d'inclusion et reconnaît le droit aux employés handicapés de participer dans tous les aspects sociaux et économiques du Ministère.

ANDRÉ DEMERS : Un des rôles qu'on a, c'est de promouvoir l'inclusion dans le milieu du travail pour les personnes handicapées, ici à Emploi et Développement social.

JEREMY PLAUNT : Alors, j'ai un bureau « assis-debout » qui me donne la capacité de travailler debout ou de façon assise.

TOMASZ BERNAT : Il y a environ un an, on m'a diagnostiqué un trouble bipolaire léger. J'ai dû prendre près d'un mois de congé avant de pouvoir revenir. J'ai été chanceux d'avoir eu droit à un retour progressif. Mon gestionnaire s'est montré très compréhensif quant au nombre de jours que je travaillerais et à la charge de travail que je supporterais. Ça m'a aidé à gérer mon stress.

PETER LITTLEFIELD :Alors l'innovation, c'est très important. Ça nous aide à progresser et à faire avancer les choses. Mais il est tout aussi important, voire davantage, d'intégrer l'accessibilité à notre travail quotidien.

JOHN YOUNG : Le gouvernement est un employeur modèle quand il est question de fournir aux employés les technologies nécessaires à leur travail. Ça m'a beaucoup aidé et m'a permis de continuer à travailler.

LINDA WILDERMAN : Il n'y a pas de solution universelle. Chaque personne a ses propres problèmes. Et même si certaines situations sont similaires, chaque personne a besoin que l'on prenne conscience qu'elle est unique et qu'une solution différente peut exister.

TAMIE GRENON : J'ai un chien guide. J'ai le droit de l'amener au travail tous les jours. J'ai beaucoup de chance de travailler dans un endroit où je reçois énormément de soutien de la part de mes directeurs et de mes gestionnaires de services.

DERECK MORRISON : J'ai toujours été très honnête avec mes gestionnaires à propos de mon état, mais mieux encore, je leur ai dit ce qui passerait si ça n'allait pas bien. Je leur ai dit que j'aurais parfois besoin d'aide.

KATIE FEHR-HOWE : Le gestionnaire de service m'a attribué exprès un bureau près de la porte, pour que je n'aie pas à parcourir de longues distances pour aller chercher les clients. Une infirmière spécialisée en ergonomie est venue pour évaluer ma situation. Elle a suggéré ce plus petit clavier pour que je puisse taper d'une seule main.

JAMES GILBERT

JEREMY PLAUNT : Le mot accommodation, ce n'est plus un mauvais mot. Maintenant, d'être accommodé au travail, ça fait partie du quotidien.